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« J'étais fier de mon vélo et il me donnait une grande liberté de mouvement. J'allais humer l'odeur de l'eau du grand lac derrière la petite gare au quai MacPherso, je rêvais, j'observais, j'avais comencé à penser sans m'en rendre compte, à évaluer le mystère du monde ».

Daniel Gagnon-Barbeau, Une enfance magogoise.

Je cherchais à comprendre la manière de cette mer mythique de raconter la genèse du monde et le courage des navigations anciennes, romaines et grecques, les traces laissées par leurs voyageries multiples et infinies. (Exposition : Fondation Camargo, 2001)


Départ pour l'écoleDépart pour l'écoleDaniel Gagnon-Barbeau commence à peindre au cours des années 1970.

Ses premières œuvres sont figuratives et simples, mais il cherche déjà jouer avec la couleur pour  capter l'émotion évanescente, l'ouverture à l'infini.

 

En véloEn vélo

 

 

 

 

 

Plusieurs toiles évoquent l'enfance avec ses rêves et sa solitude. La gestuelle est légère, mais déjà en mouvance, se mêlant à l'harmonie dynamique des couleurs.Promenade en landauPromenade en landau